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Point de mire

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25 septembre 2008

Bonheur, d'occasion?

J'ai un cours de Philo cette session qui tourne autour de la question du Bonheur. Qu'est ce que le bonheur ? Universalis le définit comme étant:    Tout homme veut être heureux, et cela suffit peut-être à définir, au moins provisoirement, le bonheur : il est ce que chacun désire, non en vue d'une autre chose (comme on désire l'argent pour le luxe ou le luxe pour le plaisir).

Je ne crois pas être en accord avec cette définition. Est-ce que le bonheur se résume simplement à ce qu'un être désire? Ne pouvons-nous pas être heureux simplement avec ce que nous possédons déja à la base? Apparemment on vit dans une société qui en souhaite toujours plus et qui ne peut pas humblement se contenter des avoirs actuels. Le bonheur ne pourrait pas simplement résider en l'épanouissement de soi pour soi.

Étrangement plusieurs facteurs causent ou nuisent au bonheurs. Parfois des facteurs majeurs comme l'amour, l'amitié, la santé, mais parfois pour des facteurs tout simplement négligeables comme l'Argent. Mais encore là, est-ci si futile. De moins en moins. Je crois.

Je ne sais pas trop comment terminer cet articlem travail inachevé. A poursuivre.

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18 septembre 2008

Aisance

Il y a longtemps que je n'ai pas écris ici. Pourquoi? J'en sais trop rien en fait. Manque de temps, non. Manque de motivation, non plus. Pourquoi alors ? Parce que j'entre dans ce moule de vie qui me bloque de tout ce qui sort de la routine, de tout ce qui déborde de la vie dite commune. En fait, le terme routine est pratiquement trop faible. C'est plutot machinal. Je me lève je vais en cours je mange je vais en cours je fais du sport je vais en cours... encore, encore, et encore...!

Est-ce normal qu'à 18 ans on se sente déja aussi à l'aise dans une routine? Suis-je entrain tomber dans cette enveloppe trop confortable? Trop rapidement et trop facilement. J'ai le sentiment de me faire avoir, en fait, je me fais avoir. Par quoi ? Par tout.

Démoralisant? Certainement.

10 juin 2007

Daytona...pitoyable

Que dire de ces personnes. Tout d’abord, le film. Un excellent reportage underground qui nous montre vraiment ce qu'est la société de nos jours. Il démontre tous nos vices et désirs. La majorité de ces jeunes québécois en voyage à Daytona sont en quête de sensation et d'émotion. Certains par l'alcool, d'autres la drogue ou encore le sexe. Ce qui est sure, ils ne cherchent qu'à se gaver d'ici leur prochain voyage. Pour eux, vouloir coucher avec tout le monde est quelque chose de normal. Ou encore, boire constamment et fumer une dizaine de joints par jour aussi. Un mot me vient à l'esprit...abus. Il y a de l'abus et c'est horrible. Les gens ne savent plus à quoi s'identifier alors ils font n'importe quoi pour se sentir apprécié. Complètement absurde.

10 juin 2007

Tragédire: Virginia Tech

Une recette simple. Quelques bouts de plombs, un fusil, des élèves et une école. Voila ce qu'il fallait pour le massacre qui sombre encore sur Virginia Tech. L'Université en question a perdu 33 étudiants. 33 personnes sont décédées, pas de morts naturelles ou d'empoisonnement. Non. Elles se sont faites tuées par un tireur fou, comme on le dit si bien dans tous les journaux. Cet homme dérangé mentalement se vengeait de son sort. Sa seule façon d'assoupir ses désirs était de tuer. Tuer des personnes innocentes, n'ayant aucun lien de proche ou de loin avec lui et qui ne faisait qu'étudier. 33 futurs médecins, avocats, professeurs, gestionnaires, politiciens, architectes, ingénieurs...33 personnes qui avaient certainement leurs places dans la société et qui ne l'ont plus. Je ne crois qu'il faut juger quelqu'un. Les médias mettent souvent la faute rapidement sur les parents ou le système de santé qui n'a pu prévenir l'incident. C'est malheureusement pratiquement impossible. Les parents font leur maximum pour leurs enfants et le système de santé en guérit tous les jours. Cependant, la société se doit de trouver un coupable. Et le coupable est cet homme. Cet homme malade. Je suis d’accord qu'en pareille situation je mettrais la faute sur le tireur d'avoir tué mon enfant. Par contre, cet homme est malade mentalement, l n'avait aucune remord. Est-ce normal ? Absolument pas, et c'est pourquoi il ne faut pas chercher de coupable mais bien aider les familles de ces personnes décédées à cette université.

24 mai 2007

Voyage

Il y a près d'un mois, je suis revenue du plus beau voyage de ma vie. Tout d’abord, un arrêt à Paris. Plutôt, on dormait à Paris. C'était sincèrement extraordinaire. Entre la plage, les souks et le désert. Tout et rien se sont passés. Une sensation de grand bonheur et de grande nostalgie de voir ces magnifiques paysages probablement qu'une seule fois dans toute ma vie. Laissez-moi-vous raconter...

Tout de mon voyage m'a plus. J'ai adoré mon escapade dans le désert. Le Sahara est surement l'endroit le plus enchanteur et dangereux à la fois que je n'ai jamais vu. Après une escapade de 2h30 en dromadaire, en pleine nuit seule avec 5 autres jeunes dans le désert, on décide d'aller se balader. On se dit, on va laisser nos souliers et revenir les chercher. Il est important de noter qu'il est 11h30 le soir et qu'il n'y a aucunes lumières dans le désert. Alors on marche pendant disons 5 minutes pour revenir par la suite vers le campement. Seulement, on s'est dit qu'on suivrait nos traces...mais le vent les avait effacés. Deux problèmes surgissent, premièrement retrouver le campement avec une mince lueur au loin et deuxièmement retrouver nos souliers. Après une demi-heure de panique, on les retrouve. Par la suite, tout le groupe décide de faire des concours de roulade. Une compétition de roulades sur des dunes de sable du Sahara. Inoubliable.

Un autre point fort de mon voyage, le magasinage. Oui je vous entends dire que je suis une vraie fille parce que même à l'autre bout de la planète je magasine. Détrompez-vous ! C'est une expérience culturelle magasiner là-bas! Tout se marchande... Revenir à Montréal et payer le plein prix fut un choc après 12 jours de ''dealage''. Ensuite, il y a certainement eu la nourriture. Je n'ai jamais autant mangé de couscous et d'oranges de toute ma vie...Même après 1 mois et demi, je ne mange toujours pas de semoules !

Par la suite, les monuments historiques et musées. Il y a eu le magnifique Amphithéâtre d'El Jem. Similaire au Colisée de Rome mais en plus gros et beaucoup mieux conservé. Des combats marins se faisaient même dans le temps de la colonisation faite par les romains. Puis il y a eu les minarais un peu partout dans les villes et villages. Les minarais projettent la voix de celui qui fait la prière pour tous les musulmans. C'est plutôt saisissant d'entendre quelqu'un chanter en arabe 5 fois par jour. Il y a eu les musées qui nous montraient les cultures tunisiennes typiques. Encore là, un choc culturel entre le Québec et la Tunisie. La façon de s'habiller aussi. Une femme touriste ne peut pas vraiment se promener seule dans la ville, car même habillé en t-shirt et short avec un homme, elle se fait regarder. Ce qui m'a marquer aussi, c'est que les hommes là-bas prenaient des photos et des vidéos de nous malgré le fait que nous étions habillées jusqu'au cou et jusqu'aux genoux.

Ensuite...il y a eu Paris. La ville que je dois retourner voir. Je suis tombée amoureuse de Paris. Montréal est ma ville natale, mais Paris est vraiment l'endroit où je dois retourner. La tour Eiffel, l'Arc de Triomphe, les Champs-Elysées, le Louvre, Notre-Dame de Paris, la Sainte-Chapelle et la Seine...que dire! C'était tout simplement merveilleux. Prendre un café tout en relaxant en bord de la seine quand le Soleil commence à se lever est certainement une expérience marquante de ma vie. C'est cliché mais...Paris est une ville tellement romantique ! Je suis tombée en amour avec cette ville.

Bref, en 12 jours, j'ai certainement vu plus de choses qu'en 1 an à Montréal. C'est magnifique. J'adore voyager et découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles langues, de nouveaux pays. A quand mon prochain voyage? Bientot je l'espère !

groupe_tunis

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18 mars 2007

Campagne électorale 2007

La politique ! Sujet passionnant pour certains, aucunement pour d’autres. Peu importe notre opinion, Mars 2007 sera le mois le plus chargé au niveau politique pour les québécois. Pourquoi ? La campagne électorale. Il y a trois principaux partis qui livrent une lutte très serrée.

D’abord, l’Action Démocratique du Québec avec Mario Dumont comme chef. L’ADQ semble être le parti le plus de droite du Québec. Avec ces pensées plutôt conservatrices, l’ADQ porte surtout leur campagne sur le fait qu’ils mettront énormément d’argent pour les familles. 100 dollars par semaine par enfant en âge préscolaire pour les familles qui ont de la difficulté à subvenir à tous leurs besoins, ce qui équivaut à 5200$ par année, par enfant. De plus, l’ADQ nous propose de dissoudre les Commissions Scolaires partout au Québec, et remettre leurs pouvoirs aux municipalités. Finalement, il nous promet un budget sécuritaire de 1.7 milliards. Ce qui crée de la controverse est la petite somme de son budget. Charest et Boisclair ont calculé qu’avec 1.7 milliards, Dumont peut remplir environ quatre obligations, et rien de plus ! Sécuritaire, certes. Utopique ? Probablement.

Après René Lévesque, Pierre-Marc Johnson, Jacques Parizeau, Lucien Bouchard et Bernard Landry, André Boisclair apparut. En tant que chef du Parti Québécois, Boisclair est considéré comme le plus radical des chefs péquistes. Il promet un budget de 3.5 milliards et un referendum dès la première année d’élection s’il gère un gouvernement majoritaire. Par contre, si le gouvernement est minoritaire, rien ne va plus. Il dit : «Mon but n’est pas de faire un referendum à tout prix, mon but est de faire une Québec souverain! » Sur quoi devons-nous nous baser?

Finalement, Jean Charest. Ancien premier ministre. Il nous promet 20 000 places en garderie et beaucoup d’argent en santé. Son budget est surement le plus téméraire avec ses 4.5 milliards, cependant il semble dire que sa colonne des dépenses balance avec la colonne des avoirs. Depuis que le gouvernement fédéral a, avec la péréquation, dit qu’il remettrait 700 millions au Québec, Charest est un de peu plus heureux. Sa nouvelle promesse : baisse d’impôts. Écho d’il y a 4 ans ?

Bref, tout semble montrer que la lutte sera très serrée entre les trois chefs. Rien ne montre qu’un chef peut être confortable et certain d’avoir un gouvernement majoritaire. Le hic, c’est que la population n’a plus foi en la politique. Peut-être à cause du passé. Qui sait ?

16 février 2007

Critique

 

Prestation tout simplement magistrale! Le 28 septembre. 8h30. Montréal, Centre Bell. Les Red Hot Chili Peppers font leur entrée sur la scène. Entre les cris, je me permets d'être en extase devant leur talent face au public. Je ne pourrais en dire autant du groupe qui ont fait leur première, Mars Volta. Tout simplement exécrable. Du bruit avec des cris stridents et, tout ça, abominablement accompagné de mélodies de flûte et de maracas. Bref, la première du spectacle m'a tout simplement fait apprécier encore plus Les Peppers.
 

Tout d’abord, leur entrée sur scène fut tout simplement brillante et impressionnante! Ils commencèrent avec un hit : Can’t Stop qui entraîne tout le monde à chanter, danser, sauter et crier. Puis, leurs plus grands succès se suivent l’un après l’autre, Californication, By the Way, Under the bridge, Dani California et bien d’autres.
 

Les Peppers ont toujours été reconnus pour avoir un dynamisme et une énergie propre à eux. Il y avait une réelle synergie entre le public et le band. Nous ne pouvions qu’être en période d’admiration et c’était un pur bonheur pour les oreilles. Entre les vieux et les récents succès, je dirais que le groupe évolue de façon à ce que tout le monde succombe à leur charme!

1 février 2007

Hand

hands

Put your hands up...in the air.

24 janvier 2007

Acculturation ou accomodements?

2006 fut une année forte en débats et en questionnements. Un sujet en particulier a su nous maintenir en haleine. Celui sur le racisme et les accommodements. Sommes-nous trop tolérants en tant qu’habitants dans notre propre pays? Où devons-nous imposer nos limites? Le 15 janvier dernier, des résultats d’un sondage ont crée bien de remous à ce sujet.

Selon un sondage dirigé par Léger Marketing en collaboration avec le Journal de Montréal, 59% des Québécois seraient considérés comme «racistes». Ce que le sondage a tenté de faire ressortir, selon moi, est que notre société québécoise est un peu trop tolérante. Par contre, j’ai l’impression que l’on peut faire dire ce que l’on veut à un sondage. Par exemple, 1000 répondants à ce sondage étaient des québécoise dits pure laine, alors que 1228 étaient d’une origine autre. De plus, il faut porter attention à la définition du mot racisme. Le racisme est une idéologie basée sur une croyance qui postule une hiérarchie entre les êtres humains selon leur origine ethnique, qui est alors parfois dénommée « race ». Alors que le sondage faisait allusion à la tolérance du peuple Québécois à l’égard des immigrants et de leurs coutumes et non au racisme. La nuance n’est pas  présentée dans le sondage et induit tout le monde en erreur.

Le Journal de Montréal semble utiliser le sensationnalisme comme méthode de vente. Les données d’un sondage sont facilement manipulables et on peut y faire ressortir ce que l’on veut bien qu’elles disent. De plus, le moment était bien calculé pour mettre la société en émoi et en colère, car plus que jamais nous entendons parler des accommodements raisonnables. Dernièrement, les juifs hassidim ont demandé au YMCA de faire teindre leurs fenêtres afin qu’ils ne voient pas les femmes s’entraîner. Le YMCA a répondu qu’ils n’avaient pas de budget, mais que si la communauté hassidim était prête à débourser les fonds nécessaires, le centre ferait en sorte de les accommoder. Le message que j’ai perçu est : ‘’ Si vous avez l’argent, sans problème !’’ De plus, les polices aussi tentent d’accommoder les hassidim, entre autres. Lorsque la police intervient avec une personne de cette communauté, les policières transmettent le cas à un policier. Pourquoi ? Tout simplement parce que la femme n’est pas un symbole d’autorité et c’est plutôt déplorable. Je ne suis ni raciste, ni antisémite. Au contraire, les ethnies apportent selon moi beaucoup à notre société. Par contre, tout est question d’adaptation. Il faut que les deux côtes soient capables de mettre du sable dans l’engrenage et pour l’instant, j’ai l’impression que nous sommes les seuls à en mettre. Je ne crois pas que les Québécois sont un peuple raciste. Les statistiques prouvent que nous sommes très accueillants face à l’immigration. 16.5% de l’immigration canadienne en 2006 est déménagée au Québec, donc 41 983 nouveaux arrivants sont déménagés dans notre province cette année, selon Statistique Canada.

L’immigration est très importante et on se doit d’accommoder nos nouveaux arrivants. Cependant, accommoder raisonnablement est la solution. Pour l’instant, nous sommes en acculturation et ce n’est pas sain pour notre société québécoise en voie d'extinction.

12 janvier 2007

A toi.

Oui oui toi! Qu'est-ce qui se passe? J'ai une drole d'impression. Pourquoi on ne se parle plus? J'ai l'impression que tu y pense pas comme moi...  Bref faut croire que je suis mélangée...
J'ai pas envie de te perdre.

Crois-moi, ce n'est pas parce que j'ai moins de temps que je pense moins à toi.
Faut croire que toi c'est le contraire.

J'ai pas envie de te perdre.Un ami ça ne s'oublie pas comme ça pour moi.
Surtout depuis aussi longtemps.
T'es pas daccord?

cute
J'ai pas envie de te perdre...
Tu me manques.

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